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Sep et travail


L'UNISEP, l'APF et Roche Pharma France unissent leurs efforts pour développer une nouvelle approche favorisant l'accès ou le maintien dans l'emploi avec une maladie chronique ou un handicap.

Initiée par Roche, une étude portant sur 800 personnes intégrant plusieurs populations : personnes malades, aidants, employeurs et population active, se penche sur l’impact de la sclérose en plaques dans la sphère professionnelle.

La SEP a pour caractéristique d’évoluer de manière imprévisible. Avec un diagnostic posé en moyenne à 30 ans, la SEP pénalise ceux qui sont touchés par la maladie, parfois avant même leur entrée sur le marché du travail.

Côté employeurs, la moitié estime que le frein le plus important à l’embauche d’une personne présentant ce type de maladie invalidante réside dans le caractère aléatoire de son évolution.

Interrogées sur les difficultés rencontrées dans leur quotidien professionnel, les personnes atteintes de SEP pointent en premier lieu la nécessité d’une meilleure information et sensibilisation des employeurs et des collaborateurs sur les spécificités de cette pathologie qui se traduit par de nombreux troubles : moteurs, de l’équilibre, sensitifs, cognitifs et visuels.

Parler de sa maladie : un moyen de favoriser le maintien dans l’emploi ?

Si l’annonce de la maladie est une démarche très difficile pour les personnes diagnostiquées, l’enquête révèle que la transparence sur sa maladie facilite le maintien dans l’emploi et la vie en entreprise.

Faut-il y voir un début d’évolution des mentalités ou le signe que l’inclusion dans la sphère professionnelle de personnes ayant une maladie invalidante, telle que la SEP, peut créer de la valeur pour la société ?

C'est ce sur quoi L'UNISEP, l'APF et Roche Pharma France vont travailler, en collaboration avec les nombreux acteurs concernés : RH d'entreprises, personnes atteintes de SEP, les proches aidants, Agefiph, ministère du travail, ministère de la santé,...


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