Coordonnées par l’instance nationale

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En termes de pratique, il existe un besoin de coordination entre la justice et la psychiatrie, qui mettent en œuvre des formes de collaboration structurées aux échelles provinciales et régionales et coordonnées par l’instance nationale. Selon nous, une conférence de consensus à l’échelle nationale pourrait conduire à l’identification de « bonnes pratiques » et à leur diffusion.

Une conférence de consensus pour définir les critères de préséance, vérifiez ici – page d’accueil, garantir les droits et gérer avec succès la liste d’attente peut avoir pour résultat de dépasser le simple critère de temps, en introduisant d’autres éléments correspondant au type de délit ou à la gravité du tableau médical, à sa traitabilité, à la sécurité et aux besoins de contrôle.

Sur la nécessité de maintenir les Instituts

Ce travail devrait harmoniser les temps de la justice et de la psychiatrie, pour veiller non seulement à la disposition des dispositions mais aussi à leur exécution efficace. Les droits doivent être garantis ensemble.

Minimiser ou supprimer le recours aux mesures momentanées de sécurité en prison, coordonner les temps entre justice et psychiatrie pourraient résoudre une grande partie des problèmes grâce à des pratiques fondées principalement sur des protocoles et des procédures de gestion partagées (tableaux de bord, tables régionales, nouvelles technologies) et sur la nécessité de maintenir les Instituts pénaux résiduels et le REMS.

Un travail conjoint entre le pouvoir judiciaire, les professionnels du droit, la DAP, l’UEPE, les spécialistes, les services sociaux, la psychiatrie, les maires avec la participation des clients, des relations, de la société civile et des garants peut être l’idée du développement culturel et en même temps l’un des meilleurs partages. des parcours et la définition des conditions de leur réalisation.

  • Dans ce contexte, les compétences du Ministère de la Justice peuvent trouver leur place, ainsi que la question du Règlement Unique du REMS[ 13], compris comme un cadre de droits et de devoirs, la déclinaison du contenu de chaque mesure judiciaire et interventions de santé.
  • Celles-ci nécessitent le consentement (« rien sur moi sans moi »)[ 14], le rôle principal, la responsabilité et l’espoir car nous savons qu’il ne peut y avoir de traitement sous contrainte.

Cette réalité est incontournable et dont la justice doit aussi se souvenir. Si la mesure pénale peut, d’une manière ou d’une autre, être imposée, ce n’est pas le cas de la thérapie. Non seulement cela, mais aussi dans le domaine judiciaire, il y a de plus en plus d’expériences de médiation, de promotion de pactes, mises à l’épreuve. Dans ce cadre, la responsabilité mutuelle devient l’élément unificateur du « double accord » pour la réparation et la justice.

Le partage devient fondamental

Le partage devient fondamental, même de temps, entre tous les sujets, en coexistence, compris comme don mutuel de temps, de sens et d’espoir. Cela signifie être sérieux à l’égard de l’autre, dans ses expériences vécues et incarnées, lorsqu’il diagnostique et prescrit ; cela signifie créer une maison psychologique standard, de rencontre où la douleur et l’espoir, possibles et inconcevables, la vie et la mort, le passé, le présent et le futur, se condensent et la flèche du temps peut avancer ou reculer, se transformer en circulaires ou en horloges, oui, elles se liquéfier au profit de la relativité ou de la profondeur du courant.

Coordonnées par l'instance nationale

La découverte du Soi via Aion, un temps transcendant et absolu, différent de Chronos et Kairos.[15] Le temps donc comme coexistence d’expériences, la relation avec le contraire comme moitié de soi. Voir les visages et les vies des gens entre les lignes des journaux, avides de leur expérience, l’angoisse d’être prêts pour une mesure, un diagnostic, une ordonnance. « Le temps de communication entre le médecin et le patient constitue un temps de thérapie » (loi 219/2017), une affirmation qui devrait s’appliquer à tous ceux qui s’occupent d’eux-mêmes.

La boussole des droits et devoirs : entre passé et futur

Si la législation n. 180/1978 a fait des malades mentaux des “résidents”, de nombreux droits sont encore violés.[ 16] Le double constat, la dangerosité sociale est une construction très discutable sur le plan scientifique.

Les mesures de sécurité de la détention sont en réalité pires que la détention car elles ne permettent pas l’utilisation des différentes variétés, ni des avantages (pré-offerts, 45 jours à faible coût par 12 mois, etc.), le provisoire, en fait Par mesure de précaution, des mesures de sécurité en matière de détention sont utilisées sans certitude de calendrier et sans garantie de défense, la probation est prolongée indéfiniment, même pour les délits mineurs. Ces injustices, qui s’apprennent sur les visages, pénètrent dans les profondeurs des mondes psychologiques, elles blessent, elles s’enracinent dans le temps vécu.

Pourquoi ne pouvons-nous pas les supprimer ?  C’est une douleur évitable qui correspond à celle qui résulte d’un emprisonnement injuste, justement abandonnée à l’attention et à l’abandon, généralement oubliée de tous. Ramenant, même dans la privation de liberté, le thème du meilleur choix, à l’affectivité et à la sexualité. Garantir les droits des citoyens (revenu, travail, logement) via l’implication des autorités locales, des préfectures, de la société civile et des garants nationaux et régionaux.

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