La loi sur la médecine devrait être réformée

Rate this post

Le législateur devrait procéder à une réforme globale du code pénal ou au moins l’abolir
mesure de sécurité provisoire. La rue principale est le dépassement de la double voie et dans ce sens ce qui signifie que va la proposition de l’hon.

Mages n. 2939/2021. Le maintien de la double voie peut au moins modifier le code pénal et la procédure pénale dans le facteurs : abolir les mesures de sécurité de la détention de courte durée et assurer les alternatives prévues par la législation n. 67/2014 à la mesure de sécurité pénitentiaire. À notre avis, la loi sur la médecine devrait être réformée et diverses politiques de détention devraient être encouragées.

La rue principale est le dépassement

En attendant une intervention du législateur, on peut constater que, dans la vie ordinaire, opérationnelle et quotidienne – UNISEP, il est possible de véhiculer des droits et des devoirs vivants comme fondement de la popularité des individus et de leur participation responsable dans une communauté démocratique. La première ressource utile, ce sont les personnes ; d’autres peuvent découler de processus de reconversion, d’adaptation, d’amélioration technico-professionnelle.

  • La fermeture des OPG n’a été ni simple ni évidente : elle a été réalisée et le système, pourtant immature, présente de nombreux indicateurs d’une possible maturation. Les réflexions sur la régression et les regrets ne manquent pas, accentués par le manque de dialogue, par des attitudes défensives et projectives qui fragmentent et fragilisent le système.
  • Surmonter les divers obstacles, stigmates, contradictions est une tâche du système tout entier qui doit le faire dans le dialogue, par le biais de connexions, de collaborations vertueuses de chaque institution appelée à collaborer mais aussi de tous les citoyens.
  • Un soin et une justice “participés” peuvent transformer les limites en forces capables d’activer des atouts inexprimés dans le “blasphème du temps” c’est-à-dire, dans un temps perdu quotidiennement et au lieu de le faire devenir étude, travail , engagement social, options diverses et créatives.

Il faut découvrir un nouveau niveau d’assemblage, centré non pas sur les lieux mais sur les parcours des individus dans la communauté, sur des temps partagés et mutuellement donnés, vécus, restant proches, côte à côte et s’accompagnant les uns les autres dans les expériences et les chemins errants de la vie.

  • L’article 111, paragraphe 5, du décret présidentiel 230/2000 identifie la catégorie de personnes qui ont développé une maladie mentale pendant leur détention et qui sont destinées à être affectées aux Articulations pour la protection du bien-être psychologique.
  • L’article 112 du décret présidentiel 230/2000 identifie la catégorie de détenus soumis à des remarques visant à vérifier les conditions de maladie mentale.
  • Article 212 alinéa 2 du code pénal. il est utilisé pour identifier les personnes qui doivent effectuer une mesure de sécurité de détention et qui ont développé une maladie psychologique.
  • Article 220 du code criminel. il sert à identifier les personnes qui doivent effectuer la mesure de protection d’hospitalisation dans une maison de retraite et pour lesquelles le juge a ordonné que cette hospitalisation soit effectuée avant l’exécution de la peine.

Le REMS est un bâtiment social

Les prisonniers sine titulo dans cette affaire sont les personnes préalablement arrêtées puis déclarées acquittées, pour lesquelles une mesure provisoire a quasiment toujours été décidée. Parmi les 403 personnes bénéficiant de mesures de sécurité de détention de courte durée conformément à l’article 206 du Code pénal, 369 sont en liberté et 32 sont incarcérées et deux sont incarcérées au SPDC ;

Il y a 201 personnes bénéficiant de mesures définitives de sécurité pénitentiaire, dont 192 en liberté et 9 en restriction. Une personne détenue en vertu de mesures mixtes. Arrêté du Ministère de la Santé du 22 septembre 2021. Le REMS est un bâtiment social et sanitaire selon l’Arrêté du Ministère de la Santé du 1er octobre 2012 avec une gestion entièrement sanitaire et avec une surveillance périmétrique confiée aux Forces de Police et par conséquent sans police pénitentiaire.

Une construction similaire à différentes « Résidences », structurellement connectées aux contextes, intégrées au sein du DSM, perméables et momentanées, dans le but d’un usage « résiduel ».

Cette dernière idée a également été soulignée par la Cour constitutionnelle. Donc une structure DSM qui a déjà dépassé son mandat (exécution des mesures de sécurité) en prenant en charge une prestation de soins de proximité qui doit évoluer vers des parcours d’inclusion. Une construction qui doit se dépasser pour ne pas se contenir. Il ne peut pas être placé au centre du système, ni assumer des capacités de garde à long terme (30 ans) comme l’indique le dernier jugement Maran de Trieste.

La loi sur la médecine devrait être réformée

L’objet du désir ne devrait pas non plus être la seule solution puisque c’est précisément de la popularité de sa nature résiduelle que des alternatives peuvent surgir. Des chemins de rétablissement qui doivent être cultivés, mûris, étudiés, surveillés. Les expériences des REMS sont très diversifiées cependant certains principes se sont imposés : nombre limité, territorialité, absence substantielle de contraintes corporelles. À cela s’ajoute la possibilité que, comme tout lieu de traitement, les admissions et les sorties soient déterminées par des psychiatres.

Leave a Comment